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GROUPE

MILITAIRE de HAUTE MONTAGNE

Accueil > Expéditions > Les challenges > 7 continents, 7 alpinismes

7 continents, 7 alpinismes, 2005 - 2010

Le Groupe Militaire de Haute Montagne propose de se fixer un projet qui a pour but de réaliser sept expéditions sur les sept continents avec un style différent et en mettant en œuvre une pratique de l’alpinisme différente à chaque fois ...


Le challenge L’afrique L’Amérique du Sud L’Amérique du Nord L’Asie L’Océanie L’Europe L’Antarctique Les expéditions
  Sommaire  
  • Introduction, p1
  • Point de départ, p2
  • Les pratiques de l’alpinisme, p3
  • La genèse du challenge, p4
  • Caractéristiques, p5
  • Les règles du challenge, p6
  • Durée, p7
  • Communication, p8
  • Expérimentation, p9
  • Conclusion, p10

 Les pratiques de l’alpinisme

Nous nous sommes penchés sur l’histoire de l’alpinisme et nous avons caractérisé quelques-unes de ses pratiques ainsi que l’évolution des règles et de l’éthique.

L’escalade libre :
Cette discipline, issue de l’alpinisme, est devenue une activité à part entière dès la fin des années 70. Elle consiste à gravir des itinéraires rocheux par ses propres moyens, l’équipement des voies ne servant que pour l’assurage du grimpeur.

Plusieurs voies ouvertes en escalade artificielle sont devenues de véritables challenges à réaliser en escalade libre.
Cette activité, par l’ultra spécialisation nécessaire, s’éloigne de l’alpinisme. Aussi, nous nous sommes orientés vers l’ouverture de nouveaux itinéraires, ce qui demande davantage de polyvalence, caractéristique principale de l’alpinisme.

Règles :
L’ouverture s’effectue du bas, ce qui implique de repérer une ligne logique que l’on suivra. Dans les zones de rocher compact, on place un équipement à demeure (spits) à l’aide d’une perceuse. Dans les zones de fissures, on utilise un équipement amovible type friends, coinceurs. Des cotations, indiquant la difficulté des passages, sont établies. Ces itinéraires peuvent ensuite être répétés par des grimpeurs avec peu de matériel.

Escalade artificielle au VerdonL’escalade artificielle :
L’escalade artificielle permet de gravir des faces rocheuses très raides de type “big wall“ en utilisant des moyens autres que sa seule force : pitons, étriers, friends…
Autrefois, c’était la seule technique possible lorsque les difficultés devenaient trop importantes.
Toutefois, l’escalade artificielle a permis l’ouverture d’itinéraires d’ampleur, grâce notamment à l’utilisation de matériel comme les micro pitons, les plombs, les crochets. Cette discipline a donc recouvré une seconde jeunesse.

Règles :
Ouvrir une voie en escalade artificielle se fait en partant du bas. Une grande quantité de matériel est nécessaire. L’ascension se faisant généralement sur plusieurs jours, avec des nuits en parois, outre l’équipement, il faut également emporter le matériel de bivouac.
Utilisation limitée des spits et des cordes fixes (cordes mise en place au cours de la montée, qui permettent de redescendre à n’importe quel moment).

Bivouac vers 6000m – Chine (Minya Konka)L’altitude :
C’est sans doute la discipline noble de l’alpinisme ; là où tout est amplifié, ou tout devient difficile. Les plus belles pages de l’histoire de la conquête des montagnes par l’homme se sont écrites sur ces hauts sommets.

Depuis les années 20, date des premières expéditions à l’Everest, le style a beaucoup évolué. Les expéditions se sont considérablement allégées, moins de matériel, moins de grimpeurs, moins de camps intermédiaires et surtout des ascensions sans oxygène. C’est l’alpiniste Reinold Messner qui sera le premier à gravir l’Everest sans oxygène en 1978.
Aujourd’hui, les expéditions se veulent plus rapides en limitant les aller et retour sur la montagne. Après une phase d’acclimatation, les alpinistes tentent le sommet en déplaçant leur bivouac au fur et à mesure. On parle alors de style alpin.

Règles :
Une utilisation limitée des cordes fixes et sans oxygène. Privilégier le style alpin ou semi alpin.

Le ski :
Le ski a longtemps été utilisé comme un moyen de déplacement. Puis il a évolué vers les disciplines que l’on connaît aujourd’hui, voire vers une utilisation extrême comme la descente de pentes raides. Pour nous, le ski doit rester étroitement lié à l’alpinisme et servir non seulement de moyen de déplacement mais également d’un moyen pour redescendre les sommets gravis.

Règles :
Redescendre à ski les sommets gravis.

De la cascade de glace vers le « dry tooling »La cascade de glace :
Au même titre que l’escalade libre, la cascade de glace est née de l’alpinisme, pour devenir petit à petit une discipline à part entière. Elle consiste à gravir des structures de glace qui se forment l’hiver à l’aide de piolets et de crampons.

Dans une ascension sur glace, le grimpeur place lui-même ses protections pour s’assurer. Ces protections sont plus ou moins fiables suivant la fragilité de la glace. Dans l’escalade, en général, la difficulté d’un itinéraire vient à la fois de sa verticalité et de sa longueur. En glace pure, ces deux paramètres sont limités car les structures de glace raides ne peuvent se former sur de grandes hauteurs et les parties surplombantes sont rares. La discipline a donc évolué avec l’apparition du “dry tooling“ qui consiste à gravir des voies très raides à dominante rocheuse dans lesquelles la glace n’apparaît que partiellement. Dans ces itinéraires, les points d’assurance sont souvent à demeure (spits).

Règles :
Dans des itinéraires traditionnels en glace, on place soi-même ses protections. Si les structures sont fragiles ou rocheuses, les protections peuvent être placées au préalable.

L’escalade mixte :
Le terrain mixte est le terrain du montagnard par excellence, mélange de rocher, de glace et de neige, obligeant l’alpiniste à s’adapter rapidement. Celui-ci grimpe avec piolets et crampons. Même dans les parties rocheuses, il garde ses outils pour éviter de perdre du temps. La cordée s’assure en plaçant au cours de la progression, des points d’assurance de type pitons, friends, coinceurs.

Dans ce type de terrain, suivant le niveau de difficulté, il peut y avoir de grandes différences de rapidité entre les grimpeurs.

Règles :
Utilisation du style alpin ou semi-alpin.

Mont Ross - Iles Kerguelen - GMHM 2001Les itinéraires neigeux :
La neige est sans doute la première difficulté que les alpinistes ont osé braver. La difficulté réside principalement dans l’assurage, souvent problématique dans ce type de terrain. Ces itinéraires ne sont généralement pas les plus raides ni les plus techniques. Pourtant ce sont les plus exposés par la difficulté d’assurage mais aussi par le risque potentiel d’avalanche. La descente est tout aussi délicate que la montée.

Règles :
Utilisation limitée des cordes fixes et ascensions dans le style le plus léger possible et le plus rapide.

Ce découpage sans être exhaustif représente bien les différentes facettes de l’alpinisme aujourd’hui.

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