Après l’escalade aux jeux olympiques, l’alpinisme c’est pour quand ?

Par le LCL Jacques-Olivier Chevallier. Article initialement paru dans le Tot Dret n°35 (magazine d’information de l’École militaire de haute montagne)

« Citius, Altius, fortius ».
La devise olympique aurait pu être celle du Groupe : « Plus vite, plus haut, plus fort ».
Alors à quand l’alpinisme aux jeux olympiques, en parallèle de l’escalade, du biathlon ou de la descente ?
Toutefois, force est de constater que l’alpinisme n’est pas un sport de stade. Un esprit cartésien mettrait d’ailleurs en avant qu’il n’a strictement rien à voir avec le saut à la perche, le sprint ou le volley-ball. Et à priori, Il aurait raison ! Les athlètes du GMHM ne possèdent d’ailleurs pas le statut « athlète de haut niveau » contrairement à ceux du Centre national des sports de la défense (CNSD de Fontainebleau). De ce point de vue, le seul élément « conjoncturel » qui rapprocherait alors le GMHM des Jeux Olympiques serait le CCH François BRAUD. Depuis 2019, ce dernier y travaille activement, non plus en tant qu’athlète en combiné nordique de l’armée de Champions, mais comme cheville ouvrière rigoureuse et appliquée. Il est depuis devenu incontournable pour le bon fonctionnement du Groupe. Cet athlète « à la retraite » prend un malin plaisir à proposer de manière innocente des petites séances de « cardio » aux équipiers du GMHM… On ne se fait généralement pas avoir deux fois !

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